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Conférence : 80 ans de la libération des camps de la mort

jeu. 18 sept.

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Maison Hastir

Il est des passés qui ne passent pas, ne passeront jamais. Cette année, cela fait 80 ans que les camps de la mort nazis ont été libérés. Certains aimeraient qu’on tourne la page, certains reprochent qu’on en parle trop.

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Conférence : 80 ans de la libération des camps de la mort
Conférence : 80 ans de la libération des camps de la mort

Heure et lieu

18 sept. 2025, 14:00 – 17:00

Maison Hastir, Rue du Commerce 51, 1000 Bruxelles, Belgique

À propos de l'événement

On n’en parlera jamais assez. On n’en aura jamais « fait le tour ». Toujours, il faudra y revenir, dans l’espoir d’avancer enfin vers un monde où le mot d’ordre « plus jamais ça ! » aurait peut-être une chance de n’être plus une vaine incantation.

Quoi qu’on sache sur la période, il en reste à apprendre. Quoi qu’on imagine, on sait que la réalité, à jamais, dépassera la fiction. Le récit est le moyen le plus fort et le plus humain pour approcher, tant que faire se peut, ce trou noir de l’humanité.

Les éditions Edern sont particulièrement sensibles à cette cause. Pour cet anniversaire, elle met en avant 4 histoires et 4 auteurs qui, chacun à sa manière, aborde la question des camps, de la mémoire et de la transmission :


  • De père méconnu, de Mireille Tabah, aborde avec sensibilité la douloureuse question des liens entre une fille et son père, héros méconnu de la Seconde Guerre et de la Brigade juive ;

  • Dans Un ciel de cendres, Édith Soonckindt se livre à une enquête historique mêlée à une quête personnelle pour révéler le destin d’une famille juive broyée par la Shoah ;

  • En rééditant son roman Oubliez Adam Weinberger, Vincent Engel inscrit son dernier

    livre, Expérience de vie imminente, dans cette quête mémorielle, intime et difficile,

    qui aura dominé l’essentiel de sa vie ;

  • Au nom d’Édith Stellner de Johan Tojerow est un vibrant hommage, d’un fils à sa mère, survivante des camps, dont Auschwitz. Il imprime à ce récit une force poétique rare qui devient le vecteur d’une mémoire tissée d’espoir.


Une conférence proposée par la Fondation Auschwitz et Edern Éditions.

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